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Novartis /Partner in health Newsletter JUIN 2015
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Tous solidaires contre l’insuffisance cardiaque !
Une personne sur cinq souffrira d’insuffisance cardiaque au cours de sa vie. Pour sensibiliser le grand public et les autorités à ce véritable phénomène de santé publique, une charte belge et un réseau européen ont récemment vu le jour. Rejoignez-les !

Le cœur est un gros muscle qui agit comme une double pompe. Sa partie droite contient du sang pauvre en oxygène qui, à chaque battement, est envoyé dans les poumons. Une fois rechargé en oxygène, le sang revient dans la partie gauche du cœur où chaque battement l’éjecte hors du muscle cardiaque et l’envoie irriguer les différents organes et tissus de l’organisme. Il arrive que, pour une raison ou une autre, le cœur ne pompe plus correctement le sang. C’est l’insuffisance cardiaque.

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ImmunothÉrapie : des traitements d’avenir contre le cancer
L’immunothérapie oncologique, ou onco-immunothérapie, vise à combattre un cancer en se servant du propre système immunitaire de patient. Plusieurs programmes de recherche et essais cliniques sont en cours.

Les cellules cancéreuses sont des cellules qui ont muté et qui se reproduisent anarchiquement, sans que notre système immunitaire, chargé de nous défendre contre les indésirables, ne puisse rien y faire. Et si on le boostait ? Et si on donnait à l’organisme de nouvelles armes pour qu’il se défende tout seul contre le cancer ?
Tel est le principe de l’immunothérapie oncologique : fournir au patient de nouvelles cellules immunitaires, capables de reconnaître et de détruire les cellules cancéreuses.

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« Ensemble, notre voix sera mieux entendue ! »
Le gouvernement Michel semble vouloir renforcer le rôle des associations de patients dans le processus décisionnel de remboursement des soins de santé. Qu’en est-il vraiment ? Le point de vue d’Ulrike Pypops, directrice adjointe de l’Association Muco et membre du conseil d’administration de la Vlaams Patiëntenplatform (VPP).

Pourquoi les associations de patients souhaitent-elles être davantage impliquées dans les processus liés aux remboursements de médicaments ?

« Actuellement, le processus décisionnel concernant les remboursements manque de transparence. Quand une firme pharmaceutique introduit une demande ou quand la Sécurité sociale envisage de modifier, voire de supprimer un remboursement, les associations de patients ne sont pas souvent mises au courant et rarement sollicitées pour un avis…

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TECHNOLOGIES
Une puce électronique dans votre médicament
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Ce n’est plus de la science-fiction ! Dans les années à venir, les micropuces électroniques insérées dans les médicaments joueront un rôle important dans le traitement et le contrôle de plusieurs maladies. Novartis en est persuadé et collabore avec la société Proteus Digital Health pour mettre au point une pilule contenant une micropuce. Celle-ci permettrait, par exemple, de vérifier la bonne compliance du patient au traitement ou l’avertirait, via un Smartphone, de la nécessité de se rendre à l’hôpital ou chez son médecin. Bref, une technologie qui améliorera grandement le suivi du patient !

ROYAUME UNI
Un meilleur accès aux nouveaux traitements ?
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Le gouvernement britannique a lancé en mars dernier une vaste étude pour identifier et mettre en pratique les moyens d’accélérer l’accès des patients aux traitements innovants et aux nouvelles technologies médicales (applis santé, appareils thérapeutiques, etc.). À titre d’exemple, il faut actuellement compter une décennie et près d’un milliard de livres sterling en moyenne entre la mise au point d’un nouveau médicament en laboratoire et sa mise sur le marché…
Le gouvernement britannique souhaite diminuer ce délai, les obstacles et les coûts engendrés, tout en garantissant la sécurité et l’innocuité des nouveaux traitements.

ESSAIS CLINIQUES
Analyses de tumeurs
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A Singapour, lorsqu’un patient atteint d’un certain type de cancer est admis à l’hôpital, sa tumeur est systématiquement analysée.
Dans un premier temps, avoir une profonde compréhension des mutations génétiques qui ont contribué à sa maladie aide les médecins à établir
une stratégie thérapeutique individuelle (thérapie ciblée). Dans un second temps, ce type d’analyses facilite le repérage précoce et le recrutement éventuel des patients avec des biomarqueurs et/ou des mutations génétiques spécifiques, qui pourraient participer à un essai clinique dans le cadre de leur traitement anticancer.


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